Nous sommes opposés à cet article parce que nous ne voulons pas surcharger les entreprises à forte intensité de main-d’œuvre. Si la solidarité nationale doit jouer pour la santé, les entreprises qui emploient de nombreux salariés ne doivent pas être les seules à payer. Nous devons trouver d’autres formes de financement, pour les raisons qu’a évoquées M. Arthuis, et l’on peut envisager des taxes sur les émissions de carbone, sur l’énergie ou même sur la consommation.