Si ma ferveur a pu laisser penser à M. le rapporteur général que je l’agressais, je le prie de m’en excuser.
Suivant très précisément ce dossier au jour le jour depuis deux ans, c’est en toute conscience que j’affirme que cet amendement ne permettrait pas à l’État français de valider le montage qui a été mis en place. Nous nous exposerions donc à des retards qui ne sont pas acceptables.
Voilà pourquoi je me suis permis de défendre avec force cette position.