Monsieur Badinter, vous êtes absolument contre le mandat posthume, parce que vous considérez que l'on ne peut pas prévoir de son vivant ce qu'il adviendra après sa mort, mais, en l'occurrence, s'agissant du tableau de maître que, par hypothèse, vous posséderiez, vous favorisez l'un de vos enfants et vous laissez des cacahouètes pour les autres. Là, la contradiction m'épate !