M. Dreyfus-Schmidt a prononcé une phrase qui, à mon avis, ne correspond pas à sa pensée : il a dit ne pas admettre qu'on puisse renoncer à une succession.
Je rappelle l'objet de telles renonciations : il s'agit, dans notre esprit, de renonciations au profit d'un enfant handicapé, par exemple. Un frère ou une soeur peuvent décider d'abandonner une succession au profit de leur frère ou de leur soeur handicapés.
J'imagine que, dans ces conditions, la renonciation ne vous choque plus, monsieur le sénateur.