Vous souriez, monsieur le ministre, mais il n'est pas rare que le Gouvernement annonce en urgence des mesures dont la mise en place est autrement plus compliquée que le fait d'assurer le versement de subventions à des associations dont les actions sont connues de la France entière.
Je ne sais pas ce que fera M. Milon, mais, pour ma part, je maintiens l'amendement n° II-17.