Pour notre part, nous souhaitons des régions fortes : à l’heure européenne, il faut que les régions soient porteuses de projets, d’outils de structuration du territoire, qu’elles aient des ambitions et les moyens de leurs ambitions.
Or il y a quelque fatalité dans les lois sur les régions. Je me souviens tout à fait de la loi dite Raffarin que notre collègue alors Premier ministre était venu nous présenter comme un projet clairement régionaliste, en nous annonçant que l’heure de la régionalisation était arrivée.
Toujours est-il qu’au terme du débat, après diverses péripéties, …