Je comprends les intentions universalistes de notre collègue Jacques Blanc.
Cela étant, monsieur le ministre, vous nous expliquez qu’en étant trop précis, on manque de précision.
Sans engager une bataille sémantique, je voudrais souligner que la mémoire des consommateurs conserve des traces des crises sanitaires d’origine animale. C’est pourquoi il nous semble indispensable de les rassurer en faisant explicitement référence au contrôle sanitaire des animaux.