Il est exact que des problèmes se posent et qu'il existe des situations dangereuses, monsieur le ministre.
A l'aéroport de Marignane, si, un jour, un avion ne s'arrête pas, il coupera en deux l'école communale de Saint-Victoret !
Il y a quinze ans que nous réclamons le déplacement de cette école. Mais, pour réaliser cette opération, il faudrait que l'Etat donne les quatre sous nécessaires.
Si, un jour, le drame se produit, on ne pourra pas dire que nous ne vous avions pas prévenu !