Je remercie également M. Gilbert Barbier, du groupe du RDSE, de son soutien.
Comment, par ailleurs, ne pas donner raison à Mme Desmarescaux lorsqu'elle évoque la question cruciale de l'éducation civique ? Mais, dans ce domaine, il faut faire remonter très loin l'examen de conscience, puisque cette matière est considérée comme accessoire depuis plusieurs générations, ce qui est bien dommage.
Monsieur Ralite, votre amour du théâtre et de la littérature, qui transparaît dans votre discours, fait encore merveille. C'est beau, monsieur le sénateur, le lyrisme ! Mais avouez que le lyrisme de la Commune date un peu.