M. Flosse a l’habitude d’employer des termes excessifs ; sur ces questions, il en vient facilement à parler de scandale.
Je lui rappelle simplement qu’il est à l’origine d’un statut qui, en 2004, a octroyé à la Polynésie française la compétence en matière de santé. Il est difficile d’exiger aujourd’hui du Gouvernement qu’il la reprenne. Quand on réclame l’autonomie, monsieur le sénateur, il faut l’assumer !