C’est exactement ce que vous venez de dire, monsieur le ministre, à la suite de M. Xavier Bertrand, qui s’était toutefois un peu moins pris les pieds dans le tapis en déclarant : « Quand vous preniez votre retraite à 60 ans en 1982, vous aviez dix ans d’espérance de vie, aujourd’hui vous avez vingt ans d’espérance de vie. Cette formidable bonne nouvelle, il faut la financer. »
Vous faites une erreur manifeste.