Je ne peux pas laisser dire que ce sont les moratoires qui ont tué les services publics. Nous savons tous très bien ici que c'est l'ouverture à la concurrence à l'échelle européenne qui les a tués !
Certes, le moratoire pourrait être plus court, mais il faudrait vraiment que, pendant qu'on fait mine de discuter, d'organiser la concertation avec les préfets, les associations des maires, etc., nous n'assistions pas à des fermetures de classes, de bureaux de poste, de maternités. Il est en effet inadmissible de voir la casse du service public se poursuivre et se pérenniser !