Je me suis donc renseigné. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai fait état il y a quelques instants d’un mail que je venais de recevoir du président de la conférence nationale des doyens de facultés de pharmacie qui, en accord avec le président des doyens de facultés de médecine, considère que ce texte est nécessaire ; je ne pourrais avoir de meilleure référence.
Dans la mesure où il s’agit d’un texte pragmatique – nous l’avons inséré dans la proposition de loi parce qu’il répondait à un problème réel –, nous devons le voter.