Vous comprendrez, monsieur le ministre, que je vous fasse part, une fois de plus, de mon amertume devant la précarité dans laquelle se trouvent encore certains habitants de nos campagnes. Certes, des mesures d'amélioration des retraites des non-salariés agricoles ont été prises depuis dix ans mais il reste beaucoup à faire pour les conjoints, les veufs ou les veuves, les aides familiaux.