Je veux vous rassurer, monsieur le rapporteur pour avis, sur la dotation du programme relatif à la famille pour ce qui concerne, notamment, les associations tutélaires. Vous avez tout à fait raison de vous en préoccuper, parce que nombre de ces associations ont rencontré des difficultés.
L'année dernière, la dette de l'État à leur égard était très importante. Au 31 décembre 2005, j'ai apuré cette dette.