Tel est en tout cas l'état d'esprit dans lequel Jean-François Copé et moi-même travaillons.
Monsieur le sénateur, je vous remercie d'avoir fait la corrélation entre cette hausse des taux et notre endettement, car je vais ainsi pouvoir apporter des précisions sur les informations que j'ai pu découvrir, ici ou là, au cours des derniers jours.
Je le rappelle, la dette stricto sensu est évaluée selon un simple critère simple : c'est ce qui coûte usuellement des intérêts.
La dette de la France est constituée d'emprunts en bonne et due forme.