Vraiment, monsieur le rapporteur spécial, je ne comprends pas cet amendement.
En effet, il s'agit de femmes et d'hommes titulaires qui ont, à un moment donné, réussi leur concours, qui sont donc aujourd'hui membres de l'éducation nationale et qui se retrouvent en surnombre dans un certain nombre de matières, notamment dans les disciplines professionnelles, parce que vous ou vos prédécesseurs ont fait le choix, ici, de supprimer des filières, là, de fermer des établissements. Or, ce sont ces mêmes personnes, qui ont exercé leur savoir-faire au sein de l'éducation nationale, que vous traitez, si j'ose dire, comme des moins que rien !