Écoutez, monsieur Longuet, vous ne vous êtes pas privé de prendre plusieurs fois la parole ! Aussi, permettez-moi de m'exprimer à mon tour, et, puisque vous m'interpellez de cette façon, je dirai que je ne suis absolument pas surpris qu'un tel amendement émane de vous, tant il est la traduction d'un libéralisme à outrance !
Ainsi, il semble bon de céder à la mode en montrant du doigt les enseignants sans élève et en les donnant en pâture à l'opinion publique. Or je voudrais tout simplement dire que, pour un enseignant, ne pas avoir d'élève est un drame.