Néanmoins, à court terme, nous n’avons effectivement pas de réponse. Pour autant, devons-nous, de rustine en rustine, prolonger tous les six mois ce tarif TaRTAM qui, manifestement, n’a pas les faveurs de la Commission européenne ? Je ne suis pas sûre que ce soit une très bonne idée.
Quoi qu’il en soit, j’espère que le rapport qui doit nous être remis à une date que l’Assemblée nationale a repoussée d’un an nous permettra de disposer, avant la fin de l’année 2009, d’éléments d’appréciation suffisants pour que, dans les six mois – et non dans les douze mois – qui suivront, nous puissions jeter les bases d’une mécanique un peu plus solide et qui ne soit pas fondée simplement sur des prolongations semestrielles.