Le Premier ministre m'a passé une commande, si je puis m'exprimer ainsi, s'agissant des réponses à apporter en matière d'éducation prioritaire. Je dois en effet lui remettre une quinzaine de propositions sur ce thème pour le 15 décembre prochain.
Par conséquent, si les préoccupations qui sont les vôtres sont tout à fait légitimes, madame Voynet, je puis vous indiquer que nous aurons l'occasion de reparler de l'éducation prioritaire très prochainement.