Je vous remercie, madame la secrétaire d'État, de cette réponse, mais je dois constater que nous ne sommes aujourd'hui qu’en position de réaction à la crise et non en situation de construction d’un système viable permettant à l’Union européenne de redevenir la zone de prospérité qu’elle a été.
Le Conseil européen aurait dû proposer des plans concrets pour une coordination économique qui repose enfin sur une solidarité européenne retrouvée. Ce n’est pas le choix qui a été fait, et encore moins celui de notre gouvernement ou du secrétaire général de l’Élysée, qui a annoncé dans le Financial Times la prise de nouvelles mesures d’austérité dès l’automne prochain.