Cet amendement est quasiment identique à celui qu’a brillamment présenté tout à l’heure le président Jean-Jacques Hyest.
Il me paraît important que le verbe « concourt » disparaisse, parce que le Parlement ne peut pas être mis sur le même plan que les autres organismes de contrôle ; je n’en citerai aucun. Le Parlement fait éventuellement appel à d’autres pour l’aider, mais c’est lui qui évalue les politiques publiques, car c’est lui qui détient la légitimité de la souveraineté populaire.