M. Michel Charasse. Comme je tiens toujours mes promesses, je voudrais demander à M. le secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement s’il a eu le temps de réfléchir en ce qui concerne notre sort pour la journée de demain. Il nous avait indiqué qu’il serait en mesure de nous dire en fin d’après-midi ce qu’il en est pour les séances de demain, parce que les problèmes de chemin de fer et d’avion que j’ai posés ce matin continuent à se poser cet après-midi. La charité, monsieur le secrétaire d’État !