Lorsque trois ou quatre ministres quittent simultanément le Gouvernement et qu’il faut organiser autant d’élections partielles, on ne sait pas très bien ce que l’humeur du moment peut réserver à la majorité.
Sachant qu’il n’existe pas de système parfait et qu’il faut opter, dans cette affaire, pour les moindres inconvénients, je reconnais que la solution proposée par le Gouvernement, même si elle n’est pas très enthousiasmante, a au moins le mérite d’éviter une rupture.
Au demeurant, ce sont tout de même les ministres députés qui ont amené leurs suppléants là où ils sont…