Au contraire, il aurait pu faire le choix de s’en tenir au système actuel tout en conférant au Parlement de plus amples pouvoirs. Finalement, puisqu’il n’a fait ni le premier choix ni le second, nous nous retrouvons avec un système hybride, où leurres, faux-semblants et situations confuses abondent.
D’éminents esprits nous disent que le mandat parlementaire diffère de la fonction ministérielle. Ils ajoutent fort justement qu’il faut savoir assumer chacune de ces responsabilités avec toute la distinction requise et accepter les conséquences d’une nomination au gouvernement lorsqu’on est parlementaire. Ce qui est ennuyeux, c’est que les votes qui suivront ne seront pas en concordance avec ces paroles.