Sur le fond des choses, chacun a le souvenir de l'assassinat dramatique de deux infirmières au centre hospitalier psychiatrique de Pau, dans le département de notre excellent collègue Auguste Cazalet. Il est bien légitime que l'on pense à ces professionnels de la santé décédés à la suite d'homicides volontaires et que l'on reconnaisse à leurs enfants la qualité de pupille de la nation.
Je crois que c'est là une des préoccupations essentielles qui ont guidé ce projet de mesure, et je pense, mes chers collègues, que notre assemblée s'honorerait à voter cet amendement.