Ce principe, qui guide l’ensemble de notre action en matière de finances publiques, a été affirmé par le Président de la République à l’occasion de la réunion de travail qui s’est tenue le 20 août dernier au fort de Brégançon. Compte tenu du niveau atteint par le déficit et la dette publique, il n’est pas concevable que d’éventuelles recettes supplémentaires soient utilisées à d’autres fins qu’au redressement de nos finances publiques. Au cours de cette législature, aucun débat absurde sur une éventuelle « cagnotte » ne pourra intervenir, tout surplus de recettes devant être affecté au désendettement de notre pays.