Ce serait positif et permettrait d'éviter de telles disparités, notamment en Seine-Saint-Denis.
Actuellement, compte tenu du produit de leurs quatre taxes, même augmenté des dotations des structures intercommunales et de la DSU, certaines communes pauvres disposent de trois fois moins de ressources que les communes les plus riches. Je le dis très nettement, c'est inadmissible !
Naturellement, dans les communes pauvres - je suis le maire de l'une d'elles -, nous acceptons la DSU.