Je réitère la totale ouverture d'esprit du Gouvernement : il faut évaluer les progrès nécessaires qui peuvent être apportés au régime du PACS. Mais, encore une fois, je le répète, cette question mérite un vrai débat portant sur tous ses aspects.
C'est pourquoi le Gouvernement, je le confirme, est défavorable à l'amendement n° 254 rectifié.