Il sera également en mesure de mener une politique encore plus volontariste d'investissements en amont. Il aura, enfin, une capacité équilibrée dans les secteurs de l'électricité et du gaz, ce qui sera un atout indispensable pour ses clients.
La seule question qui nous est posée, c'est celle de l'avenir de Gaz de France.
Bien sûr, c'est le projet GDF-Suez qui a enclenché le mouvement, mais cette démarche a toujours été conçue en trois temps, ainsi que je l'ai expliqué dès le premier jour.
Il y a eu, tout d'abord, le temps de la concertation sociale. On m'a dit - je ne sais pas si c'est exact, mais je n'ai pas de raison d'en douter - que peu de projets de loi avaient fait l'objet d'une telle concertation préalable avant d'être présentés au Parlement.