Madame la sénatrice, vous avez raison de le souligner, et le Premier ministre l’a rappelé tout à l’heure, le sujet des retraites ne devrait pas être un terrain d’affrontement entre la droite et la gauche.
J’observe que c’est d'ailleurs Michel Rocard qui, le premier, dans son Livre blanc, avait dressé courageusement le diagnostic. Le parti socialiste ferait bien de s’inspirer de son exemple et de sa clairvoyance.