France Télévisions a donc décidé de vendre cette régie, en recourant à un processus encadré. Le conseil d’administration de France Télévisions, dans lequel siègent des parlementaires, des représentants de l’État et des représentants des syndicats, a choisi, le 5 février dernier, d’engager des négociations avec la société LOV, acronyme des initiales des enfants du président de ladite société, associée à Publicis.