Je souhaite articuler cette brève intervention autour de trois remarques.
Tout d’abord, il me semble qu’il ne faut pas en rester à une polémique inutile et stérile sur le taux des prélèvements obligatoires.
Nous devrions être à 44, 5 % en 2012, voire à 45 % en 2013 selon Mme Bricq, contre 44 % en 2007.
Peut-être devrions-nous nous souvenir du débat que nous avons eu à la charnière des années 2008 et 2009 : nous étions descendus, chère collègue rapporteure générale, à un taux de 42 %, jamais connu depuis les années quatre-vingt.