Elle se traduira par une économie en 2012 de l’ordre de 160 millions d’euros.
J’évoquerai à présent l’accès aux soins. Nous pouvons naturellement en débattre, mais encore faut-il partir des faits. Or, monsieur le rapporteur général, le reste à charge est passé de 9, 6 % en 2000 à 9, 4 % en 2010. Il n’a donc pas augmenté, mais diminué au cours des dix dernières années.