Nous ne pouvons tous qu’être favorables à ces mesures comme aux baisses des prix des médicaments ou au développement des référentiels de prescription.
Naturellement, une fois que l’on aura modéré la hausse des dépenses, il faudra trouver des recettes supplémentaires. Or, dans ce PLFSS, celles-ci reposent pour l’essentiel sur les entreprises.
À cet égard, je suis totalement opposée, comme l’ensemble des membres de mon groupe, vous l’imaginez bien, à l’amendement de la commission qui vise à supprimer les exonérations sur les heures supplémentaires. Monsieur le rapporteur général, comment pouvez-vous parler de « cadeau » s’agissant d’heures supplémentaires qui bénéficient aujourd’hui à plus de neuf millions de salariés ?