Le temps de la dépense facile est terminé, monsieur le sénateur. Il faut vous en rendre compte !
Je regrette votre attitude car, au moment où nos décisions budgétaires engagent notre avenir et celui de la zone euro, nous aurions dû pouvoir nous retrouver autour de l’intérêt supérieur de notre pays, comme c’est le cas chez tant de nos voisins européens.