Tout au long de l’examen de ce projet de loi de financement de la sécurité sociale, vous avez été nombreux sur ces travées à affirmer qu’on ne pouvait pas soigner mieux sans dépenser toujours plus, comme si, aux yeux du Sénat, la hausse des dépenses était une fatalité.
Or le progrès technique et l’allongement de l’espérance de vie ne sont pas des excuses pour ne rien faire !