Or l’Assemblée nationale, moins ouverte que nous, faut-il le croire, n’a pas retenu cette proposition, pas plus que l’autre mesure, d’ailleurs.
Le Sénat a par ailleurs imposé un meilleur accès aux soins.
Nous avons abrogé l’augmentation de la taxe sur les assurances complémentaires, votée au mois de septembre dernier, dont nous sommes certains qu’elle sera répercutée sur les assurés, et nous avons plus que largement gagé cette perte de 1, 1 milliard d’euros pour les comptes sociaux.