En troisième et dernier lieu, les économies prévues pour ramener la progression de l’ONDAM de 2, 8 % à 2, 5 % ne laissent pas de susciter notre incompréhension. Ce ne sont qu’une série de grappillages ponctuels, sur le prix des médicaments, notamment. Mais nous sommes d’accord pour une nouvelle politique du médicament.