Ma question s'adressait à M. le Premier ministre ou à M. le ministre de l’économie, mais, en leur absence, j’imagine que c’est M. le secrétaire d'État chargé du commerce qui me répondra.
J’aimerais revenir sur les réponses qui viennent d’être apportées. Contrairement à vos affirmations, mes chers collègues de l’opposition, la marque de ce gouvernement, comme je l’ai dit à Mme Pécresse lors du débat sur les prélèvements obligatoires, est le manque de lucidité et de courage, et l’absence d’esprit de justice.