J’en viens à ma conclusion, monsieur le président.
Des projets contestables ont été trop longtemps mis en avant par l’État, contre l’avis de la plupart des collectivités concernées. Des retards ont été pris. Ce programme correspond pourtant à l’une des priorités affichées du quinquennat qui se termine et nul ne pouvait le contester.
Je rappellerai que la présentation des crédits de cette mission n’est pas sincère, ce que dénonçait déjà mon prédécesseur Philippe Dallier.