Le produit des amendes forfaitaires constatées par les radars bénéficie exclusivement à la sécurité routière via le financement des dispositifs de contrôle et d’amélioration des infrastructures routières des collectivités territoriales ou de l’État.
Revenir sur cet article signifierait renoncer à 150 « radars-sanctions » et à 1 050 radars « pédagogiques », ce qui irait évidemment à l’encontre des objectifs ambitieux du Gouvernement en matière de sécurité routière.
J’émets donc un avis défavorable.