Il s’agit effectivement d’un amendement d’appel, et je vais donc le retirer.
Cela étant, j’observe que l’État procède à un plafonnement, qui ne bénéficie pas à l’usager francilien, notamment dans le cœur de la région. La problématique de l’Île-de-France est pénalisante.
L’usine à gaz que constitue l’organisation des transports en Île-de-France n’est pas satisfaisante. Il est regrettable que la France ait demandé une dérogation dans ce domaine. J’espère que ce problème institutionnel sera abordé en 2012.