Mais non, monsieur le président de la commission des finances !
Il faut trouver une solution, d’autant que vous reconnaissez vous-même que ce régime dérogatoire n’existera peut-être plus demain.
Soyons courageux et ne créons surtout pas de nouvelle niche fiscale, car c’est bien ce que nous sommes en train de faire. Cela dit, je partage votre souci d’aider réellement la filière équine – du moins, ceux de ses acteurs qui en ont véritablement besoin !