Nous vivons depuis quatre ans la crise la plus difficile qui soit. Et vous, vous réduisez l’action du Président de la République à la taxe sur les boissons gazeuses, qui, par ailleurs, a de réelles justifications en termes de santé publique.
Madame, avec tout le respect que je vous dois, sachez que je suis, en raison d’une mauvaise habitude contractée à l’Assemblée nationale, très vigilant à tout ce que vous dites. C’est ce qui m’amène à vous remercier, comme ce fut le cas cet après-midi, quand nous sommes d’accord et à m’opposer à vous, lorsque vous outrepassez, à mes yeux, les limites de votre fonction actuelle.