La commission estime qu’une étude doit être menée sur le versement des allocations familiales dès le premier enfant, et ce pour trois raisons.
Tout d’abord, le contexte sociodémographique, tout comme les aspirations individuelles, a considérablement changé depuis la création des allocations familiales.
Ensuite, force est de constater que c’est pour le premier enfant que le niveau de compensation publique est le plus faible.
Enfin, la naissance d’un enfant, fût-il le premier, n’est pas sans conséquences sur le niveau de vie des parents.
La commission a donc émis un avis favorable sur l’amendement n° 108 rectifié.