Vous l’assumez !
Nous sommes dans un pays où nous payons trop d’impôts et où nous dépensons trop. Nous disons quant à nous que nous pouvons dépenser mieux et dépenser moins. C’est une vraie différence entre nous.
Il était important que les choses soient claires à la fin de ce débat au Sénat. Nous n’avons pas la même conception : pour notre part, nous pensons qu’il faut aussi être capable, pour préserver le modèle social français, de dépenser moins et de dépenser mieux ; vous, vous pensez que l’on doit dépenser davantage en prélevant davantage : vous êtes totalement à contre-courant !
Permettez-moi de vous dire que, si je vous respecte, je ne partage pas pour autant votre conception ; en tout cas, je ne suis pas sûr que les Français vous suivront dans cette voie.