Monsieur le président, je trouve irrespectueux pour le monde combattant que notre débat se déroule dans de telles conditions.
Cette discussion générale, moment fort de l’expression démocratique, sera en effet tronquée puisque, à peine entamée, elle va être interrompue dans quelques instants par la suspension de la séance, ce qui nuira à la qualité et à la cohérence de nos échanges. Le devoir de mémoire revêt pourtant un caractère essentiel et s’impose à tous.
Monsieur le président, il aurait été préférable de commencer la discussion générale cet après-midi.