M. François Marc, rapporteur spécial. Cet amendement, très simple, s’appuie sur l’idée que le pire n’est jamais sûr et que si, aujourd'hui, des augures un peu pessimistes laissent entendre que les choses ne vont pas s’améliorer de sitôt, on peut tout de même se dire que passé le printemps 2012, on ne sait jamais, les choses pourraient aller mieux !