a souligné le fait que l'achat sur étagères d'un lot réduit de missiles traduisait la volonté du gouvernement français de ne pas dépendre d'un industriel étranger pour une longue période et sur un segment qui ouvrirait à ce même industriel l'ensemble d'une trame qui, pour l'instant, n'est pas encore définie. Il a regretté qu'aucun accord, ni même aucune discussion n'ait eu lieu entre les états-majors européens et que le reste des forces européennes se soit équipé de missiles américains ou israéliens sans rechercher une coopération européenne.